dimanche 26 avril 2009
100e jours !!!!
Jour 100 – 23 Avril
Cent jours au Costa Rica!!! Quand Jules a quitté l’école en janvier, sa classe faisait le projet des cent jours : chaque matin, les élèves comptaient les jours d’école depuis le début de l’année. Ils étaient rendus au jour 78. Ce qui veut donc dire que notre patate aura passé plus de temps au Costa Rica qu’à l’école cette année... Pas facile la vie à six ans! Il compte maintenant plus en espagnol qu'en anglais! C'est Andy qui va être fier! Jules a donc écrit un e-mail à Adèle, son enseignante, et aux amis de la maternelle C de l’école Paul-Bruchési. Délicat, il a essayé de ne pas être trop chiant! Comme il a plu toute la nuit et qu’il pleut encore ce matin, on se refait une petite journée tout en douceur. Un peu de
piscine, un peu de passe-partout, un peu de bricolage. Marie-Claude en a profité pour éplucher internet à la recherche de camps de jours pour meubler l’été de Jules parce qu’on ne sera plus ici pour rien faire en famille! Fort de notre dîner d’hier et puisque la température s’y prête bien, on a refait le coup de la soupe pour dîner. On a fini notre soupe de poisson d’hier et on s’est fait une crème de champignons Knorr que Grand-Maman Martine, de nos amis québécois, nous avait abandonné il y a un mois. Ruth et Toni sont arrivés de San José avec leur avocat pour finaliser la vente de la petite
maison près de la route. Ça nous a permis de recevoir d’autres compliments sur la piscine qui est décidément très belle et de rencontrer Raphaël, notre nouveau voisin. Puis, Yvon a fait un lift à Charles pour aller acheter du lait frais à Cahuita. Les deux bonshommes en ont profité pour échanger des trucs de bière, et le gringo a appris au simili-local-d’en-face que la bière n’était pas si cher que ça chez le chinois de Cahuita. Du coup, les voisins viennent de se sauver d’un bon nombre de voyage à Limon : comme quoi on peut toujours faire notre part pour l’environnement. Pour souper, Charles a cuisiné une cochonnerie infâme. Tous les parents qui cuisinent quotidiennement un dîner et un souper savent qu’il est impossible de tout réussir; ben là, on a été gâtés. À Limon, Marie-
Claude avait acheté des Almeja pelada, palourde bleues. On a donc essayé de se faire des pâtes vongole à la crème, comme on en mange si souvent à la maison. Le problème c’est que lesdites palourdes étaient salées. Salées comme saumurées. C’était infecte. Tout le monde a quand même été bien poli et a mangé ce qu’il a pu, mais on était tous conscient qu’il s’agissait là d’une boulette qui ne repasserait plus. Disculpe!
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Salut bon Anaïs la rationnelle se demande si cet enfant (Jules) a quand même de l'école "à la maison" ou son expérience au Costa-Rica est bien suffisante et que de toute façon il va en savoir bien plus que la majorité d'entre-nous à son retour...
RépondreSupprimerAutre pensée rêveuse : c'est à notre tour de partir une école mais au Costa-Rica cette fois.... on pourrait l'appeller Nueva Escuela, héhéhé
Anaïs
xx
Salut la rationnelle !
RépondreSupprimerL'école de la pura vida ! De beaucoup supérieure à la maternelle non obligatoire...
Tu m'as fait réfléchir à ses apprentissages ici, et à vrai dire, le programme du ministère en serait jaloux ! Tu verras quand Ella sera rendue au processus de normalisation qu'est la maternelle!
Bisou
MC