Non, je ne regrette rien
Jour 81 – 4 Avril
Marine a réveillé Marie-Claude, elle n’oserait jamais s’en prendre au gros ours qui ronfle de l’autre côté du lit, à 5h15 ce matin. Très injuste récompense pour une maman qui vient tout juste de se débarrasser du boire de cette même-heure de sa petite dernière (qu'elle avait redécouvert avec le rythme de la pura vida…). Marine s’est bien reprise et, au vrai réveil, deux heures et quart plus tard, nous avions de jolis dessins qui nous attendaient à côté de nos oreillers. Au déjeuner, Jules et Marine se sont mis à nous chanter du Édith Piaf comme pour nous dire qu’eux aussi ne regrettaient rien de rien de ce réveil aux aurores. C’était vraiment charmant en ce beau samedi matin ensoleillé. 
On a poursuivi avec le festival de Joe Dassin. Dommage que nous n’ayons pas de haut parleur avec l’ordinateur, parce que Marie-Claude aurait chanté à tue-tête. Après quelques cafés, tout est rentré dans l’ordre. Et au fait, nous non plus on ne regrette rien de notre passage sur la côte Pacifique. Le découvertes, autant heureuses, malheureuses que celles sans intérêts font partis des voyages. Et ce sont nos désirs de découvertes qui nous amènent à voyager. Nous sommes donc en paix avec notre séjour ici. Nous avons rencontré Xinia et seulement pour elle, le trajet valait la peine. 
Marie-Claude, Colin et Marine ont osés s’aventurer au soleil de plomb pour aller jouer dans la mer et faire une île Bonaventure, de leur propre aveu, de sable. Ils sont rentrés juste à temps pour se préparer à aller dîner au restaurant au coin de la plage (Marine, les plages ça n'a pas de coin!). Juste en passant le cadre de porte, Xinia est arrivée en catastrophe quasiment apeurée. Elle nous avait préparé un dîner tico classique : riz, fèves rouges cuites avec des bananes vertes et œufs cuits durs. On s’est régalés et on n’a évidemment pas regretté un seul instant le karaoke infernal du samedi midi. Ce ne sera que partie remise.
Marine a réveillé Marie-Claude, elle n’oserait jamais s’en prendre au gros ours qui ronfle de l’autre côté du lit, à 5h15 ce matin. Très injuste récompense pour une maman qui vient tout juste de se débarrasser du boire de cette même-heure de sa petite dernière (qu'elle avait redécouvert avec le rythme de la pura vida…). Marine s’est bien reprise et, au vrai réveil, deux heures et quart plus tard, nous avions de jolis dessins qui nous attendaient à côté de nos oreillers. Au déjeuner, Jules et Marine se sont mis à nous chanter du Édith Piaf comme pour nous dire qu’eux aussi ne regrettaient rien de rien de ce réveil aux aurores. C’était vraiment charmant en ce beau samedi matin ensoleillé. 
On a poursuivi avec le festival de Joe Dassin. Dommage que nous n’ayons pas de haut parleur avec l’ordinateur, parce que Marie-Claude aurait chanté à tue-tête. Après quelques cafés, tout est rentré dans l’ordre. Et au fait, nous non plus on ne regrette rien de notre passage sur la côte Pacifique. Le découvertes, autant heureuses, malheureuses que celles sans intérêts font partis des voyages. Et ce sont nos désirs de découvertes qui nous amènent à voyager. Nous sommes donc en paix avec notre séjour ici. Nous avons rencontré Xinia et seulement pour elle, le trajet valait la peine. 
Marie-Claude, Colin et Marine ont osés s’aventurer au soleil de plomb pour aller jouer dans la mer et faire une île Bonaventure, de leur propre aveu, de sable. Ils sont rentrés juste à temps pour se préparer à aller dîner au restaurant au coin de la plage (Marine, les plages ça n'a pas de coin!). Juste en passant le cadre de porte, Xinia est arrivée en catastrophe quasiment apeurée. Elle nous avait préparé un dîner tico classique : riz, fèves rouges cuites avec des bananes vertes et œufs cuits durs. On s’est régalés et on n’a évidemment pas regretté un seul instant le karaoke infernal du samedi midi. Ce ne sera que partie remise.
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